Billet: me voila sur les rues d'Alger!
La Roche-sur-Yon 5 décembre 2016 (Yats)- Des tasses de café jetables, à la main « nes-nes, moitié-moitié », ils traversaient les rues hors des passages piétons, comme si un compromis avait été établi entre eux et les automobilistes, pas le moindre klaxon, l’humidité complice avec l’air marin de la grande Bleue, corrodaient les dernières peintures de balcons, jadis blancs aux boiseries bleues…
Alger la Blanche nous saisit dans ses bras et nous dévoile des souvenirs lointains, de
Le temps de saluer les incontestables marchés couverts du coin, au milieu d’une «ferme» de légumes et fruits aux parfums et saveurs du pays, en passant par l'emblématique bibliothèque du Tiers-monde.
La vie chère, sur toutes les lèvres, comme dans le temps aux pays de l’Est, il fallait une brouette de zloty ou de marks pour acheter un sac de pommes de terre. Dans le change parallèle, semi-officiel, l'Euro prospère. Le prix du pétrole a baissé et le niveau des couffins des ménages aussi. On mène sa barque comme on peut…on ne finit jamais comme on débute (Dixit Fouroulou) dans les Chemins qui montent.
Prochaine chronique:
Les bougies, les pierres et les chants d'enfants
Légende: le linge tendu fait partie intégrante du décor...
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