Pensée-Da Rabah Allache, un bien-aimé et un professionnel s'en va …
Lundi 15 juillet 2024 (Salah Yataghène)- «Le monde est une fête où la mort fourmille et la création se dissipe en famille» écrivait un jour Victor Hugo à son disciple Alphonse de Lamartine dans un message de condoléances.
Nous y sommes là. La famille Allache Mouloud et Ramdane à laquelle s’associe, peinée la famille Yataghène Belkacem et frères ( la solidité des liens est à ce prix) vient de perdre un de leurs enfants, en la personne du Docteur Da Rabah, des suites d’une longue maladie, à l’âge de de 72 ans.
Nous prions Dieu le tout puissant d’accueillir son âme dans son vaste paradis et d’accompagner les siens avec sa bénédiction et sa clémence durant cette dure épreuve.
Le regretté, apprécié de tous par sa discrétion et sa douceur, demeure pour nous une référence d’un Humain auquel les plus justes et amoureux de la droiture aspirent. Et le village s’honore de ses enfants de cette trempe.
Une mémoire bien saluée par ses collègues
Pour cela, il laissera un grand vide dans les cœurs de ceux et celles qui ont eu cette chance de le côtoyer et de partager, ne serait-ce un petit moment d’échange avec lui, tant à son village natal Taddert-Oufella qu’à son milieu de vie et de travail à Alger.
Aux valeurs de la personne ne peuvent se rattacher qu’une conduite professionnelle exemplaire et un professionnalisme certain et apprécié de son entourage médical à l’hôpital Salim Z’Mirli où il a tiré sa carrière en maitre-assistant en toute beauté.
Les témoignages de ses collègues n’ont fait que saluer sa révérence et sa mémoire dans le respect et la dignité qui lui sont dus. Mais comme toutes les grandes sympathies et afflictions viennent des très proches, voici un témoignage-hommage de sa petite cousine, Farida, peinée comme ses frères et sœurs.
Un exemple à suivre pour les générations futures…
«Da Rabah, docteur spécialisé en chirurgie orthopédique à l'hôpital est pour moi un bel exemple de modestie et de générosité. Bien veillant et serviable qui lui ont valu le sobriquet de Médecin des pauvres, il était toujours là au service des malades quelque soit l’heure de sollicitude ».
Apprécie notamment par son savoir et son professionnalisme.Toujours souriant et optimiste.Un parcours très honorable, une fierté pour notre famille et un exemple pour les générations futures ». Ath yarhem rebi ya3fuyas nchallah et on ne l'oubliera jamais».
Crédit-photo : (site hôpital Z‘Mirli _avec visa de la famille)
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