Billet: Quand la pensée lounissienne est omniprésente
La Roche-sur-Yon 25 février 2016 (Salayat)- A chaque fois que nous allons perdre les pédales, chacun est cycliste à sa façon, pour peut-être foncer droit dans le mur, et/ou faire une culbute dans le barrage de Taksebt, nous plongions dans la pensée lounissienne où chaque vers et strophe redonnent à l’âme le bon sens, aux racines, l’air et l’ingrédient dont elles auraient besoin.
Sur le Groupe Aït-Menguellet et les admirateurs du verbe, dédié au Poète (via Facebook) qui grâce à la notoriété de son auteur, n'arrive plus a contenir toutes les demandes, nous griffions depuis quelque temps, chaque jour que Dieu fait, un Mot du jour, et dont la réplique se trouve donnée du fin fonds du Djurdjura comme dans l’adage
« J'ai tiré la corde et la montagne a rugi (Jev dhagh d amrar yenhad wudhrar).
Cet exercice s’avère être comme cette pelote de laine qui, depuis le tirage d’un bout vient toute seule, tant les chansons et les poésies de Lounis seraient définitivement ancrées dans les esprits au travers de générations, même si lui-même clamait « Que reste–t-il de la chéchia, achud yugran dhith chachith… ».
Crédit: Anidhakun?
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